Nos missions

mardi 28 mai 2013


Après la métallurgie et l'assurance, Pierre Gattaz obtient le soutien de la banque. Le président de Radiall s'affirme de plus en plus comme le grand favori à la succession de Laurence Parisot. Le vote, le lundi 3 juin, du conseil exécutif pourrait pousser ses challengers à s'allier pour tenter de lui barrer la route.
Pierre Gattaz, candidat à la succession de Laurence Parisot à la tête du Medef, lors d'un débat à Paris le 14 mai.

Grand chelem! Après l'UIMM (métallurgie) et la FFSA (sociétés d'assurance), Pierre Gattaz vient d'engranger un nouveau soutien de poids dans la course à la présidence du Medef: celui de la FBF, la puissante fédération des banques. À un peu plus d'un mois de l'élection, le président de Radiall a donc pris une plus grande option pour succéder le 3 juillet à Laurence Parisot.

«Ce n'est pas une surprise après le soutien il y a une semaine de la FFSA, minimise l'un de ses adversaires. Le vote des banques va toujours de pair avec celui des assureurs». Il n'empêche. Avec ce nouveau soutien, le fils de l'ancien patron des patrons, Yvon Gattaz, enfonce un peu plus la tête de ses concurrents sous l'eau et s'affirme un peu plus comme le grand favori de l'élection. Jamais un candidat au poste de président du Medef n'avait en effet réussi à obtenir, sur son nom, le soutien des trois premières fédérations de l'organisation, historiquement opposées dans une guerre Industrie/Services qui a beaucoup desservi la cause patronale.

Certains à l'UIMM commencent d'ailleurs à s'interroger sur les raisons de ce nouveau ralliement d'une fédération des services derrière la candidature de Pierre Gattaz. Les rumeurs les plus folles, mais pas forcément dénuées de sens, ont déjà couru sur les contreparties accordées par le président de la FIEEC aux assureurs (un poste supplémentaire au conseil exécutif, la conduite de la négociation des retraites…), ainsi qu'à certains présidents de Medef territoriaux pour le soutenir (on parle de postes de vice-présidence que Pierre Gattaz veut multiplier).

«Ce sera très serré»

Pour se rassurer, les autres candidats - Geoffroy Roux de Bézieux et Patrick Bernasconi en tête - espèrent que le vote du conseil exécutif du Medef, qui interviendra le lundi 3 juin, leur permettra d'inverser la tendance et surtout de casser la dynamique dont bénéficie Pierre Gattaz depuis plus d'un mois. «Ce sera très serré», pronostique déjà l'un d'entre eux, persuadé de dépasser le candidat de l'UIMM. «Patrick (Bernasconi) fera plus qu'on ne le pense et il y a une probabilité que Pierre (Gattaz) ne ressorte pas en tête», abonde un cadre de la métallurgie. Une alliance Roux de Bézieux/Bernasconi, au profit de celui qui ressortira devant l'autre, n'est pas non plus à exclure. Les deux candidats, très proches sur le fond et qui s'apprécient, se parlent d'ailleurs régulièrement. Le vote au conseil exécutif, lundi prochain, leur permettra de se compter…

Pour l'heure, les deux challengers de Pierre Gattaz continuent encore et toujours de labourer le terrain pour convaincre les Medef territoriaux de voter pour eux, lors de l'AG du 3 juillet, pour tenter de rattraper leur retard. «On l'oublie mais les Medef territoriaux disposent d‘un tiers des voix lors du scrutin», rappelle d'ailleurs un des postulants au poste suprême. À titre d'exemple, Geoffroy Roux de Bézieux, qui truste également les plateaux de télévision et radio mais manque de soutien de poids en dehors de celui de sa fédération (les télécoms), a déjà visité 17 régions sur 22. Quant à Patrick Bernasconi, soutenu par sa fédération (les travaux publics) et probablement par celle amie du Bâtiment, il «prépare un coup», dit-on, pour la fin de semaine.

D'après plusieurs sources concordantes, Pierre Gattaz aurait du mal à faire le plein des voix des patrons de province. «La voix qui remonte des territoires est très critique et sceptique sur le potentiel de Pierre Gattaz», confirme un cadre de la maison Medef. Ainsi, lors d'un vote informel qui s'est déroulé il y a quelques jours à Bordeaux après un débat entre tous les candidats, Roux de Bézieux a obtenu 22 voix, distançant Bernasconi (7 voix), Gattaz (5) et Lanxade (1)… La course à la succession de Laurence Parisot, qui ne s'est toujours pas exprimée, est bel et bien lancée…
Source : le figaro

lundi 27 mai 2013

14ème CLUB’ ECO du jeudi 23 mai 2013


Edouard de Penguilly, Président du MEDEF 93 OUEST, et son équipe ont eu le plaisir d'accueillir lors d'un déjeuner-débat Madame Carol SIROU, Présidente de l'agence de notation Standard & Poor's France.




L’influence des agences de notation a été pendant longtemps au cœur des débats en France et l'image que nous en avons, n'est peut-être pas la bonne.

Lors de ce déjeuner-débat, les questions suivantes ont été abordées :

- Quelles sont les missions d'une agence de notation ?
- Quelles sont leurs véritables influences sur les décisions des investisseurs ?
- Qu'est réellement "la notation" ?

Femme impliquée, elle nous a fait le privilège de venir partager avec nos adhérents sa vision des sujets structurants du moment et de nous apporter un éclairage sur son métier.

mercredi 22 mai 2013

Medef : le soutien des assurances à Gattaz affaiblit Roux de Bézieux

« Le crédit d\'impôt compétitivité emploi va dans le bon sens. [Mais] cela ne fait que compenser les 30 milliards de prélèvements obligatoires supplémentaires par ailleurs. » - Sipa


Pierre Gattaz prend de l'avance sur ses adversaires dans la course à la présidence.
C'est un coup dur pour Geoffroy Roux de Bézieux. D'autant que le patron d'Omea Telecom-Virgin Mobile ne l'avait pas vu venir, en tout cas pas si tôt. Pas à la veille de la réunion du conseil exécutif du Medef, qui auditionnera demain les cinq candidats, avant un vote prévu le 3 juin. Le soutien affiché lundi par la Fédération française des sociétés d'assurances (FFSA) à Pierre Gattaz, le patron de Radiall, marque un tournant dans la course à la présidence du mouvement patronal. De fait, avec le soutien des assurances, qui pourrait entraîner logiquement celui des banques, Pierre Gattaz, déjà adoubé par la puissante UIMM (métallurgie), dispose désormais de l'appui de quelques-unes des plus puissantes fédérations professionnelles du Medef.

L'équipe de Geoffroy Roux de Bézieux a été prise de court. Alors que les services financiers avaient fait partie des plus fervents soutiens de Laurence Parisot, le fait qu'ils encouragent désormais le candidat de la métallurgie marque une nouveauté en soi. Mais ce tournant était attendu. Denis Kessler, ancien président de la FFSA et patron de Scor, s'est déclaré très tôt pour Pierre Gattaz. Il avait été rejoint récemment par Henri de Castries, PDG d'AXA, puis par l'influent Claude Bébéar, président d'honneur d'AXA et dirigeant de l'Institut Montaigne. C'est sur le timing que la surprise a eu lieu.

La FFSA, présidée par Bernard Spitz, avait auditionné les candidats fin avril et devait se prononcer in fine à l'issue d'un nouveau round opposant les deux finalistes, Geoffroy Roux de Bézieux et Pierre Gattaz, le 4 juin. « Denis Kessler a fait pression sur Bernard Spitz. On peut supposer que Denis Kessler a obtenu quelques garanties en retour auprès de Pierre Gattaz, comme un siège à la commission sociale ou au conseil exécutif », persiflent des pro-Roux de Bézieux.

Faut-il y voir une réponse à la lettre choc de Pierre Bellon, fondateur de Sodexo, qui avait étrillé l'industriel ? Si la situation se complique pour lui, Geoffroy Roux de Bézieux se persuade que rien n'est joué. « Il était depuis quelques jours en train de gagner des voix grâce à sa campagne », indique un membre du conseil exécutif du Medef. L'ancien président de l'Unedic aura ainsi visité 15 Medef régionaux (sur 22) d'ici à la fin de la semaine. Hier soir, Guillaume Poitrinal, ex-Unibail-Rodamco, et président de son comité de soutien, organisait un grand raout à l'Automobile Club, où on attendait une centaine de personnes. Le pendant des grands débats organisés par Pierre Gattaz.

Source : les echos

mardi 21 mai 2013

Medef : la fédération des assurances avec Pierre Gattaz

Pierre Gattaz, patron de Radiall, candidat à la présidence du Medef, le 14 mai.

Candidat à la présidence du Medef, Pierre Gattaz bénéficie d'un nouveau soutien qui pourrait se révéler décisif : celui de la Fédération française des sociétés d'assurance (FFSA), l'une des plus puissantes composantes du mouvement patronal. Cette organisation devait annoncer, lundi 20 mai, qu'elle appuie la démarche du fils d'Yvon Gattaz, ex-leader du CNPF – l'ancêtre du Medef.
 
Cette décision est rendue publique trois jours avant les auditions par le conseil exécutif du Medef des cinq prétendants à la succession de Laurence Parisot, l'actuelle patronne des patrons. Cette instance doit rendre un avis le 3 juin avant le vote en assemblée générale, qui se déroulera le 3 juillet.

 LE VENT EN POUPE
 Pierre Gattaz peut se frotter les mains. Il est désormais épaulé par deux des plus influentes familles du patronat : la FFSA, donc, et l'Union des industries et des métiers de la métallurgie (UIMM), qui avait indiqué, le 18 avril, qu'elle "roulerait" pour lui.

Une figure du Medef fait remarquer, sous le sceau de l'anonymat, que le choix de la FFSA pourrait refléter celui du monde de la finance : les filiales assurance des grands groupes bancaires – les bancassureurs – font partie de la FFSA, souligne cette source. Comme elles penchent en faveur de Pierre Gattaz, il n'est pas incongru d'imaginer que leurs maisons-mères soient du même avis. Autrement dit, l'hypothèse d'un ralliement de la Fédération bancaire française (FBF), qui pèse lourd elle aussi, est très crédible.

 Reste à connaître la ligne de deux autres organisations patronales qui vont également compter au moment du scrutin : le Prisme, qui représente les entreprises d'intérim, et la Fédération française du bâtiment. Mais Pierre Gattaz peut d'ores et déjà se montrer optimiste : assuré d'obtenir – au moins – les suffrages de la métallurgie et des assureurs, il a le vent en poupe – voire un boulevard devant lui.
 GRAND ORAL

La décision de la FFSA n'est pas vraiment une surprise. L'un de ses anciens présidents, Denis Kessler, avait indiqué, il y a quelques semaines, qu'il soutiendrait Pierre Gattaz. Or, le PDG du réassureur SCOR continue d'occuper une position cardinale au sein du monde de l'assurance : sa forte personnalité et son discours très libéral en agacent plus d'un, mais il en impose par "sa connaissance des dossiers, son intellect et les résultats de son entreprise qu'il a redressée", commente un bon connaisseur du secteur.

 Selon nos informations, la FFSA a entendu M. Gattaz et trois autres de ses rivaux (Patrick Bernasconi, Thibault Lanxade, Geoffroy Roux de Bézieux). Le patron de Radiall, entreprise spécialisée dans les composants électroniques, a été jugé le plus convaincant par les assureurs. "Cela prouve que l'opposition entre le secteur des services et celui de l'industrie est dépassée aujourd'hui", commente une figure du Medef.
 Certains considèrent que lors de son grand oral devant la FFSA, M. Bernasconi, président de la Fédération nationale des travaux publics (FNTP), a été pénalisé par son appartenance à un secteur qui dépend de la commande publique. Quant à M. Roux de Bézieux, une autre source pense qu'il a été desservi par son intention d'accorder aux PME et aux territoires une place de choix dans les instances du Medef.

Source : le Monde

« Moi, président du Medef… » : les candidats confrontent leurs programmes



Le conseil exécutif du Medef doit auditionner jeudi les cinq prétendants à la succession de Laurence Parisot. Avis sur François Hollande, mesures prioritaires, Medef de demain : les trois favoris répondent aux « Echos ».
« Moi, président du Medef… » : les candidats confrontent leurs programmes

La pression monte pour les postulants au titre de patron des patrons. Jeudi, les cinq candidats passeront leur grand oral devant les 45 membres du conseil exécutif, le gouvernement du Medef. Il s’agit de ne pas rater l’exercice pour les trois qui tiennent la corde – Pierre Gattaz, le patron de Radiall, Geoffroy Roux de Bézieux, le fondateur d’Omea Telecom-Virgin Mobile, et Patrick Bernasconi, à la tête de la Fédération des travaux publics. Car le vote, qui interviendra une semaine plus tard, lors d’un nouveau conseil exécutif extraordinaire, pèsera lourdement sur le scrutin final de l’assemblée générale du 3 juillet.
A un mois et demi de l’élection, la campagne est à son apogée. Les candidats labourent les territoires, pourvoyeurs d’au moins un tiers des voix. Les rencontres se multiplient aussi avec les grands patrons qui influenceront le vote des fédérations. Aujourd’hui, les programmes sont bien connus. Pas de surprise sur la tonalité libérale de ces trois entrepreneurs, qui ont tous remis la fin des 35 heures au cœur de leur discours. En revanche, des divergences apparaissent : Patrick Bernasconi reste sur sa ligne modérée, vantant le mérite du dialogue social, tandis que Geoffroy Roux de Bézieux et Pierre Gattaz rivalisent de mesures plus radicales et vantent un patronat décomplexé. Pierre Gattaz fait figure de grand favori : après avoir obtenu le soutien de la puissante fédération de la métallurgie (UIMM), il a reçu hier celui de la Fédération des sociétés d’assurances (FFSA), un autre poids important.

Source : Les echos

Medef : la FFSA soutient la candidature de Pierre Gattaz




 
Pierre Gattaz, président du groupe des fédérations industrielles (GFI) fait figure de favori pour succéder à Laurence Parisot, qui arrive en fin de mandat.
La Fédération française des sociétés d'assurance (FFSA), qui pèse un poids important au Medef, a annoncé lundi qu'elle soutenait la candidature de Pierre Gattaz à la présidence de l'organisation patronale. "Le Bureau de la Fédération française des sociétés d'assurances (FFSA), après avoir auditionné les différents candidats à la présidence du Medef, a décidé d'apporter son soutien à la candidature de Monsieur Pierre Gattaz", selon un communiqué.

Pierre Gattaz, 53 ans, président du groupe des fédérations industrielles (GFI), fait figure de favori pour succéder à Laurence Parisot, qui arrive en fin de mandat. Pierre Gattaz a déjà le soutien de la puissante fédération de la métallurgie (UIMM). Jeudi, le conseil exécutif du Medef auditionnera les cinq candidats, avant l'élection qui doit se tenir le 3 juillet.

Source : Le point

La loi sur la sécurisation de l'emploi définitivement adoptée

Le projet de loi sur l'emploi, salué comme «historique» par le gouvernement mais brocardé comme «scélérat» par la CGT, FO et les communistes, a été définitivement adopté mardi par le Parlement, après un ultime vote au Sénat.


La loi sur la sécurisation de l'emploi a été définitivement adoptée mardi au Sénat par 169 voix contre 33. Medef et CFDT se félicitent du vote de ce texte qui transpose l'accord national interprofessionnel (ANI) du 11 janvier entre le patronat et trois syndicats (CFDT, CFE-CGC, CFTC), mais refusé par la CGT et FO.
Contestée par les communistes lors des débats parlementaires et dans la rue le 9 avril, la loi accorde plus de flexibilité aux entreprises (maintien dans l'emploi, mobilité interne, refonte des procédures de licenciements...).  Mais le texte créée de nouveaux droits pour les salariés (accès élargi aux mutuelles, droits rechargeables au chômage, formation...).

Laurence Parisot (Medef) :  «L'avènement d'une culture du compromis.» Ce vote est «un événement dans l'histoire économique et sociale de notre pays» parce que «cette loi installe enfin la flexisécurité du marché du travail» et «offre des outils qui vont immédiatement permettre aux entreprises de faire face aux adaptations», se réjouit Laurence Parisot. «Aboutissement d'un processus dont les partenaires sociaux ont été le cœur et le moteur», elle «témoigne ainsi, contrairement aux poncifs maintes fois répétés, de leur capacité réformatrice».
«C'est l'avènement d'une culture du compromis, d'une méthode où la réforme est portée par les partenaires sociaux après des décennies d'une philosophie de l'antagonisme social», poursuit encore la patronne des patrons dans un communiqué.

Patrick Pierron (CFDT): «Une nouvelle articulation entre démocratie sociale et démocratie politique». Cette loi «permet une nouvelle étape dans la sécurisation des parcours professionnels, avec de nouveaux droits pour les salariés» et «une articulation nouvelle entre l'économique et le social, fondée sur l'anticipation des évolutions, une information renforcée et un rôle accru des représentants des salariés». Ces derniers «seront plus impliqués dans les décisions stratégiques là où jusqu'à présent ils étaient cantonnés à gérer les conséquences sociales souvent douloureuses pour les salariés», explique Patrick Pierron, qui a négocié l'accord pour la CFGT.
«Enfin! On va pouvoir passer à la mise en œuvre de cet accord (...) La CFDT va se mobiliser fortement», a réagi son secrétaire général Laurent Berger lors d'une visite au site Candia à Lude (Sarthe).

Source : Le Parisien

Pierre Gattaz veut "un Medef de combat contre la crise"

Pierre Gattaz a remporté la primaire interne de l'UIMM pour la présidence du Medef. A Paris, le 3 mai.


Avant même l'ouverture, mardi 7 mai, de la campagne pour la présidence du Medef, Pierre Gattaz, 53 ans, fait la course en tête. Et ce n'est pas forcément une bonne nouvelle pour François Hollande et pour le gouvernement. Eux, qui vantent les mérites du dialogue social, auront peut-être à composer avec cet entrepreneur de terrain désireux de recentrer le patronat sur l'économie et d'incarner un Medef de combat. "Un Medef de combat contre la crise mais apolitique", affirme l'industriel, dont le père, Yvon, affronta comme patron des patrons le retour de la gauche au pouvoir en 1981 et dont l'épouse est conseillère UMP du Vésinet (Yvelines).
Des six candidats déclarés à la succession de Laurence Parisot, qui incarne depuis 2005 une certaine modernité dans un Medef jusque-là très masculin et peu ouvert aux questions de société, deux ont jeté l'éponge. Frédéric Saint-Geours, président de l'Union des industries et métiers de la métallurgie (UIMM), a été sèchement battu par M. Gattaz le 18 avril lors d'une primaire interne.
 
Jean-Claude Volot, ex-médiateur de la sous-traitance, a rallié le vainqueur. Outre M. Gattaz, quatre hommes restent en lice et le nom de Marie-Christine Coisne-Roquette, PDG de Sonepar, a aussi circulé. Le comité statutaire du Medef dira lundi 6 mai qui a reçu son feu vert.

Source : le Monde